The Sound of Music
- Margaret Tinsley
- Mar 24
- 1 min read
If music be the food of love, play on;
Give me excess of it, that surfeiting,
The appetite may sicken and so die.
So speaks Duke Orsino, at the beginning of Shakespeare’s Twelfth Night. Not that music seems to do as he asks, but his love-sickness is illusory, not real.
Music, however, does have many different – and more successful – attractions. It comes in so many types – pop, jazz, reggae, classical…..to name but a few, and appeals to so many different emotions: joy, mourning, praise…. the list goes on.
Perhaps a result of attending both the wonderful concert by Mosaic on Saturday and Evensong yesterday, I am even more aware of the beauty and meaning of church music, particularly choral music, as a great asset to worship. As Lucy Winkett states in her Lent book, ‘We live in a noisy world, but, ‘A key expression of human sound is music’. Or, a previous vicar once said that music transports us to the very gates of heaven.
Music, often in the form of hymns, can be used as prayer, like the following verses:
For we know that thou rejoices
O’er each work of thine;
Thou dids’t ears and hands and voices
For thy praise design;
Craftsman’s art and music’s measure
For thy pleasure
All combine.
In thy house, great God, we offer
Of thine own to thee;
And for thine acceptance proffer
All unworthily
Hearts and minds and hands and voices
In our choicest
Psalmody. Amen
Gérant d’un restaurant, j’ai fait face à un bouchon de graisses récurrent dans ma cuisine ; l’équipe de Maes débouchage a installé un séparateur homologué et mis en place un contrat de maintenance trimestrielle incluant contrôle bactériologique. Depuis, mes audits HACCP se déroulent sans remarque, et je peux garantir à mes clients un service sans interruption, même pendant les heures de pointe.
Pour relooker ma salle à manger, je cherchais une table alliant design minimaliste et robustesse : j’ai découvert chez Souffle d’intérieur une table en chêne massif brossé, agrémentée de rallonges papillon invisibles. L’ajout de cette pièce a transformé mes dîners hebdomadaires : la capacité passe de quatre à dix convives sans effort, et l’équilibre des plateaux reste parfaitement stable, même en pleine extension. Chaque commande inclut une notice d’entretien et un petit kit de retouche, gage de l’accompagnement post‑achat généreux de la marque. Un must pour qui veut marier fonctionnalité et esthétisme scandinave.
Pour une immersion authentique, j’ai testé le parcours restaurant marrakech traditionnel The Beautiful Marrakech, qui m’a conduit de la place Jemaa el‑Fna jusqu’aux ruelles du Mellah, ponctué d’escales chez des maîtres‑tajineurs. J’ai dégusté un tajine de kefta aux œufs sur un lit de semoule parfumée aux épices maison, suivi d’une harira réconfortante. L’ambiance — lanternes clignotantes, musiciens gnaouas et service familial — imposait un rythme paisible, loin de l’agitation touristique. Chaque adresse propose un menu immuable, perpétué depuis plusieurs générations, garantissant un voyage gustatif dans le temps.